prénom, pseudo (pronoms)

personnage inventé, pré-lien, scénario ? inventé crédits répondre ici. un avis, une envie sur le forum ? c’est de toute beautey. tout sur l'artiste âme vagabonde à la recherche d’un forum chill pour m’amuser, je sens que je suis au bon endroit. ton mot de la fin hâte de jouer avec vous tous <3.

histoire

sous-titre

/tw/ violences conjugales, emprise //

Rien ne prédestinait Elena à une aventure aussi tumultueuse et invraisemblable. Ou peut-être que tout l’y destinait justement, c’était une question de point de vue. Fille unique d’un couple d’ouvriers de Birmingham, elle avait grandi dans des quartiers surpeuplés, défavorisés et suffocants, dans un foyer aussi toxique que les particules fines de pollution qui nécrosaient la ville. Sa mère était une femme à la personnalité si discrète qu’elle aurait pu en oublier sa propre existence. Terriblement docile, contrainte à un mimétisme pathétique lorsqu’il s’agissait d’émettre une opinion, et si passive devant les écarts de son mari qu’Elena n’en conservait qu’un souvenir méprisant qui ne faiblissait pas malgré les années égrenées. Son père était un homme colérique et constamment insatisfait, qui répercutait sa frustration sur les deux seuls êtres qu’il estimait incapables de lui tenir tête. Pour oublier sa condition sociale médiocre, il optait le plus souvent pour un whisky bon marché qui désagrégeait systématiquement toute trace de patience ou de bon sens chez lui – si tant est qu’il en ait été pourvu lorsqu’il était sobre. Aussi, espérait-il sans doute que cogner sur sa femme et sa fille lui apporterait un semblant de réconfort. A moins qu’il n’ait imaginé pouvoir trouver la clé du succès et de la fortune dans le fond de la bouteille… Ce qui expliquerait son étonnante assiduité dans l’exercice. Et l’entrain renouvelé qu’il employait à chaque fois qu’il levait la main sur elles…

Néanmoins, malgré ses efforts et les hématomes qui fleurissaient toujours plus nombreux sous la peau de son épouse ou de sa fille, Jack ne parvint jamais à provoquer sa chance. Tout ce qu’il trouva au bout du compte, ce fut une cinquantaine de points de suture après avoir été éjecté accidentellement à travers la fenêtre du salon par une jeune Elena de quatorze ans, prostrée, la lèvre contusionnée et les joues tapissées de larmes. Une peur jusqu’alors refoulée la submergea aussitôt, et quand elle croisa le regard épouvanté de sa mère, elle sut que ses options étaient drastiquement réduites. Elle ne pouvait plus cacher l’affreuse vérité qu’elle couvait dans l’intimité de son cœur depuis deux ans. Elle ne pouvait pas nier la difformité abjecte de sa nature, les phénomènes étranges et inquiétants dont elle était la source. Les courants d’air qui s’élevaient parfois lorsqu’elle étouffait ses pleurs et ses cris dans son oreiller. Les portes qui se claquaient frénétiquement dans les toilettes de l’école lorsqu’elle venait y trouver refuge. Et maintenant, son père qui gisait lamentablement sur les pavés humides de leur cour… Ses émotions s’entrechoquèrent violemment et la peur viscérale de représailles impitoyables eut raison de ses réticences fébriles. Rien ne l’attendait ailleurs, l’inconnu revêtait un masque obscur et inquiétant, mais elle savait ce qui l’attendait ici, et à ce stade, autant miser sa chance en se jetant dans le vide. En trente-neuf ans de vie, ce fut la décision la plus précipitée et la plus inconsciente qu’elle ait prise. Et peut-être la meilleure…

Alors que sa mère s’était précipitée aux côtés de son époux, qu’elle s’apprêtait à appeler les secours, Elena avait tout juste pris le temps de monter les escaliers en trombe pour prendre quelques affaires dans un sac, avant de disparaître définitivement dans les ténèbres glacées de la nuit. Ce fut la dernière fois qu’elle vit ses parents. Aucun avis de recherche ne fut émis à sa connaissance. Elena disparut simplement comme si elle n’avait jamais existé aux yeux de personnes. Débuta alors une vie dans l’errance et la peur permanente où elle-même vint à douter plusieurs fois de sa propre identité.

Mettre de la distance avec sa ville natale fut sa première étape. Elle voulait oublier son passé, s’émanciper définitivement de ses racines et elle nourrissait l’espoir qu’en se faisant, elle deviendrait enfin normale. Sans un sou en poche, l’adolescente à la silhouette filiforme n’eut d’autre choix que de se débrouiller malgré les risques que cela impliquait. Au cours de son périple qui l’amena à Londres, elle se retrouva à dormir dehors, fouiller des poubelles, voler ou partager des repas avec des nécessiteux qui avaient sans doute pitié d’elle. De curieuses manifestations surnaturelles survinrent de temps à autre, la poussant alors à disparaître de nouveau sans un mot. Des rencontres plus moins amicales ponctuèrent sa survie, et chaque nouvelle journée semblait une victoire de plus.

Elle parvint à l’âge de seize ans à trouver un travail dans une épicerie de nuit, et ce fut aussi l’année qui marqua la rencontre la plus poignante de son existence. Celle qui bousculerait ses convictions et lui offrirait un second souffle. Annabelle Shelby. Elle n’oublierait jamais cette silhouette gracile qui traversa le seuil du magasin, le charme envoûtant qui s’était aussitôt propagé dans la boutique miteuse. Ses cheveux d’un roux flamboyant étaient si soyeux, sa longue jupe noire et son chemisier satiné qui épousaient parfaitement ses formes et cette autorité naturelle qui faisait claquer chaque syllabe à la manière d’un fouet menaçant… Elena se sentit plus minuscule et insignifiante que jamais à côté. Pour autant, elle ne pouvait détacher son regard de cette présence si singulière. Jamais auparavant elle n’avait vu de telle femme. Elle fit éclore chez elle une curiosité inédite, une admiration inégalée. Elle aurait tant voulu être comme elle. Si sûre d’elle, si puissante et belle.

Annabelle l’aborda alors, et Elena eut l’impression qu’une divinité se penchait sur elle. Sans doute était-ce un peu vrai dans le fond.

« Depuis combien de temps vis-tu dehors ? » interrogea-t-elle de but en blanc, en la dévisageant par-dessus le comptoir avec un regard si perçant que la jeune fille avait senti le sang affluer sous ses joues.

« Euh…  Vous faites erreur, je... Je ne vis pas dehors. » balbutia malhabilement l’anglaise qui craignait que les services sociaux ou la police ne soient à sa recherche depuis deux ans. Elle serra les poings, enfonçant ses ongles crasseux dans ses paumes. Elle provoquait souvent des catastrophes lorsqu’elle se sentait nerveuse…

La rouquine porta une tige de nicotine entre ses lèvres écarlates, et d’un claquement de doigts sec, le bout de la cigarette s’embrasa. Elena sentit son cœur trébucher dans sa poitrine soudain trop étroite. Elle regarda à gauche puis à droite, papillonna des cils comme si elle n’était pas certaine de ce qu’elle avait vu.

« Pour que les choses se passent bien entre nous, il ne doit pas y avoir de mensonges, Elena. » fit-elle en soufflant un nuage lactescent sur le côté avec une nonchalance déroutante.

« Comment… Comment connaissez-vous mon prénom ? Est-ce que… Est-ce que c’est mes parents qui vous envoient ? » demanda-t-elle, soudain tendue et prête à s’enfuir dès que l’occasion se présenterait.

« Non. Je suis dotée de certaines capacités extraordinaires, et je t’ai repérée il y a quelques mois de cela déjà. Une chance pour toi. »

La jeune fille fronça les sourcils tout en secouant la tête.

« Je… Je ne comprends pas… »

« C’est précisément la raison de ma venue, mon enfant. Lever le voile sur ta véritable nature et te montrer l’étendue de ton potentiel. Tu crois sans doute que tu es un cas unique, sans doute t’es-tu persuadée d’être une anomalie, une monstruosité inapte… » Elle soupira, laissa couler ses prunelles vertes sur elle, la jaugeant sans pudeur. « Il n’est rien de plus vrai et faux en même temps. Tu couves un pouvoir exceptionnel pour les gens ordinaires qui nous entourent… » Elle balaya la pièce avec une sorte de dédain palpable. « Mais tu as encore tout à apprendre pour l’être parmi les gens de notre espèce. »

Elena n’était pas certaine de savoir comment accueillir le discours de l’inconnue. Était-elle folle, comme elle ? A sa posture, à l’éclat vif dans son regard et toute sa panoplie vestimentaire onéreuse, elle ne pouvait pas y croire. D’un autre côté, ce qu’elle lui disait n’avait aucun sens. Aucun sens et pourtant… Cela suffit à attiser une flamme minuscule sous ses côtes. Un sursaut de fougue, un espoir qu’elle n’avait jusqu’alors jamais cultivé. Et si c’était possible ? S’il existait quelque chose de plus grand pour elle dans ce monde qui s’était montré si dur avec elle ? Annabelle devina qu’elle était parvenue à semer une graine et qu’il suffisait maintenant d’un peu d’entretien pour qu’elle germe selon ses désirs. Un sourire étira doucement ses lippes rouges.


Elena avait finalement suivi Annabelle, consciente qu’elle était peut-être la seule à pouvoir lui offrir une perspective d’avenir. La quarantenaire l’accueillit dans son manoir somptueux de Londres. Elle commença par une transformation nécessaire, l’habilla, la coiffa, lui transmettant par la même occasion son goût affirmé pour les belles choses. Elena se rempluma de plusieurs kilos au cours des premiers mois, et vite la silhouette longiligne de la jeune adolescente mua pour dévoiler une jeune femme à la mâchoire affirmée et au regard impétueux. Son éducation nécessita beaucoup de patience et de polyvalence ; Annabelle lui dispensa à la fois les arts mystiques de la magie mais aussi les bases en anglais, en mathématiques, en histoire, elle lui inculqua à se comporter comme une femme du monde, à parler devant un auditoire. Elle lui enseigna le piano, l’emmenait aussi régulièrement assister à des courses hippiques. Les journées étaient interminables mais ô combien passionnantes pour Elena. Pour la première fois, elle avait l’impression d’avoir une utilité, de susciter de l’intérêt chez quelqu’un. Elle apprenait à aimer la conversation, elle découvrait l’ivresse que procurait l’euphorie, la satisfaction d’apprendre, elle se transformait non seulement en sorcière mais aussi en femme affirmée. Et tout cela, elle le devait à Annabelle.

Un lien fort se développa entre elles, et pour la brune qui n’avait jamais connu d’affection maternel, c’était comme expérimenter une résurrection. Annabelle n’était pas seulement son mentor, c’était une personnalité influente du monde surnaturel londonien. Elle fréquentait les cercles d’adeptes de magie noire aussi bien que les cercles vampiriques les plus puissants. Elle initia ainsi très jeune sa protégée au milieu magique, convaincue qu’il était essentiel de multiplier les bonnes fréquentations pour gravir les échelons dans la société. C’est ainsi qu’Elena fit la rencontre à l’aube de ses vingt ans d’un dénommé Rhys. Un limbien de première fosse, âgé de soixante-dix ans, bien qu’il soit resté figé dans les traits d’un homme de trente-cinq ans.  Il est difficile encore aujourd’hui pour Elena de se remémorer ce passage de sa vie. Par honte ou douleur ? Sans doute un peu des deux…

Rhys avait jeté son dévolu sur la jeune Elena dans les secondes qui avaient succédé au rire cristallin de la brune. Quand ce dernier avait carillonné au milieu d’une assemblée et que ses prunelles dorées pétillantes avaient heurté les siennes, le vampire était tombé sous le charme. Il s’était présenté à la jeune femme et pour celle qui n’avait jamais connu les premiers émois romantiques, sa galanterie conjuguée à une prestance indéniable avaient éveillé chez elle des sensations nouvelles. Sa respiration s’était presque coupée devant le regard d'acier de l’homme. Il la dévisageait avec tant d’avidité qu’elle en fut complètement chamboulée. Il avait des cheveux courts et noirs comme le jais, avec une mèche récalcitrante qui lui tombait sur le front et lui donnait un air plus bêtement séduisant encore. Il avait une prestance inégalée et ce demi sourire qui pouvait hanter toute une vie. Si Elena était honnête à l’heure actuelle, elle admettrait n’avoir jamais connu homme aussi attrayant.

Annabelle fut la première à flairer le danger. Elle mit en garde sa protégée contre l’influence que pouvaient exercer les vampires, et lui défendit d’approcher Rhys. Si seulement elle l’avait écouté… L’attraction qu’elle éprouvait pour l’homme était magnétique, passionnelle. Et Rhys, au début, ne manifesta aucun signe de malhonnêteté. Il paraissait des plus désintéressés. Il sortait Elena dans des soirées mondaines, la faisait danser, boire, il l’assommait d’histoires invraisemblables, il la couvrait de cadeaux et d’attentions. Dans le dos de sa mère d’adoption, la jeune femme découvrait les joies de la vie avec son étrange compagnon. Impossible de dire quand les choses échappèrent à son contrôle, ni même si elle en exerça réellement un, un jour. Les vampires avaient le pouvoir d’altérer les souvenirs et peut-être avait-elle seulement fantasmé toute cette partie idyllique de leur vie…

Une relation malsaine et toxique s’installa progressivement entre Rhys et Elena. Avait-il exploité certaines failles psychologiques de la jeune femme ? Toujours était-il qu’à mi-chemin entre figure paternelle et amant, Rhys fut le premier homme dans sa vie. Et celui qui l’avait marquée au sens propre comme figuré… La première fois qu’il s’abreuva d’elle, Elena avait vingt et un ans. Elle ne saurait dire ce qui l’avait poussé à accepter. Était-elle sous emprise ? Était-elle seulement naïve et amoureuse ? Était-ce si mal ? Elle se rappelait de la sensation d’ivresse incomparable qui l’inondait à chaque fois. Elle se rappelait aussi qu’il avait prétexté vouloir la protéger en lui marquant le bras comme on aurait marqué du bétail…

Lorsqu’Annabelle réalisa l’ampleur de la connexion qui liait les deux êtres, c’était déjà trop tard. En dépit de ses efforts, des disputes qui éclatèrent entre sa protégée et elle, rien n’était suffisamment fort pour rompre ce pacte puissant… Elena la conjura d’accepter sa relation et de ne plus chercher à lui nuire ou l’entraver. La mort dans l’âme, la rouquine capitula… Plusieurs années s’écoulèrent ainsi. Elena démarra des études en droit sous les encouragements de Rhys, et leur lien provoqua même un ralentissement curieux dans le processus de vieillissement de la jeune femme.  Leur histoire aurait pu durer plus longtemps encore si Annabelle n’avait pas découvert les desseins sinistres du couple qui impliquaient la transformation d’Elena… Elle décida d’aller confronter directement l’Émérite auquel répondait Rhys pour le forcer à opposer son véto à cette transformation. Était-ce l’orgueil piqué du vieux vampire ou un élan de loyauté envers l’un des siens ? Quelle que fut sa motivation, l’immortel décapita sommairement Annabelle et fit livrer sa tête à Rhys.

À partir de cet instant l’univers de l’anglaise se dématérialisa avec la brutalité d’une déflagration. Ce fut comme un électrochoc, une violente plongée dans un océan glacé. La vision effroyable de celle qui l’avait recueillie, élevée et aimée comme une fille, bouleversa l’équilibre artificiel dans son esprit. Un cataclysme d’une rare fureur éclata entre ses tempes, et toutes ses certitudes furent balayées. Elena sentit son cœur se fracturer en même temps que sa raison. Elle céda alors à un appétit bestial et primaire, à l’appel du sang pour venger le sang. Les années aux côtés d’Annabelle avaient laissé leur trace, et sa disparition si soudaine venait d’éteindre quelque chose chez Elena. Elle réalisa alors un rituel ancien, alimenté par la rage, nourri par le sang versé, sacrifié de sa mère adoptive. Elle ne laissa pas à Rhys l’occasion de s’expliquer pour la manipuler à nouveau, car désormais, elle en était certaine, il était comme un poison qui s'était distillé toutes ces années dans ses artères. Elle déchaina sa colère contre lui. Son enveloppe charnelle glacée se tapissa de roche, figeant l’immortel dans une expression de franche surprise. Ses yeux fixes exprimaient un sentiment qu'Elena ne déchiffra jamais vraiment. Elle emprisonna Rhys dans une prison de pierre pour le punir, certaine que c’était un châtiment moins clément que la mort. Conscient mais affamé. Incapable de parler, incapable de bouger. Pétrifié dans l’espace et dans le temps.

Après avoir offert des funérailles dignes de ce nom à sa mère, Elena quitta sans un regard en arrière l’Angleterre pour tirer un trait définitivement sur son sombre passé. Elle fit cap vers Vancouver où des relations d’Annabelle l’invitèrent pour intégrer le FSV. Là-bas, elle pourrait s’éloigner du cercle vampirique de Rhys qui ne devait pas découvrir le sort funeste auquel elle l'avait livré. C’est ainsi qu’à vingt-neuf ans, elle prit un énième nouveau départ de l'autre côté de l'océan. Elle ouvrit son bureau d’avocate dans Downtown et débuta son emploi souterrain au service diplomatique du FSV. D’abord déléguée suppléante, elle fut nommée déléguée principale à l’Automne 2021.

Elle rêve à présent d’ouvrir une académie pour les catalyseurs, un sanctuaire pour les jeunes enfants effrayés et livrés à eux-mêmes et elle s’emploie activement à défendre ses congénères contre les menaces potentielles. Irréversiblement marquée par ses mauvaises expériences, elle fait preuve d’une méfiance quasi paranoïaque à l’égard des étrangers. Pour autant, elle est parvenue à se créer des amitiés et des relations en presque dix ans ici. D’ailleurs, certains jurent avoir vu des larmes couler sur le visage de cette étrange statue qu’elle conserve dans une pièce de son appartement…

Encore un petit effort

Bon, je m'étendrai sur le côté artistique sur le post de validation, mais en attendant il y a une petite bricole qui me chiffonne par rapport à la nature d'Elena.
Tu précises qu'elle est catalyseur pluripotent, mais de ce que je comprends et déduis de son histoire, elle observait déjà des manifestations magiques avant de réaliser sa nature. Ca voudrait dire qu'elle a un don de manipulation inné ? Dans ce cas, ça ferait d'elle un catalyseur restreint.
Du coup il faudrait préciser tout ça. Soit elle commence à lancer des sorts de manière instinctive et elle est catalyseur restreint, auquel cas j'aurais besoin que tu détailles un peu plus son don et les catalyseurs qu'elle utilise régulièrement pour le reste. Soit elle est pluripotente, donc sans don de manipulation particulier, et à ce moment elle ne peut pas avoir manipulé la magie avant d'apprendre à le faire, même instinctivement.
Voilà, j'espère que c'est suffisamment clair ! Et sinon, je suis dispo par MP pour en discuter !

Ta  fiche est validée, et les portes de Vancouver s'ouvrent à toi ! Tu peux dorénavant poster ta fiche de liens et aller rôder sur celles des autres personnages pour trouver quelqu'un à martyriser - ou inversement, la suite ne me regarde pas. Tu as maintenant le droit d'aller flexer ta nouvelle couleur partout dans la zone RP, et on espère que y prendras un maximum de plaisir. Dans tous les cas, si tu as le moindre problème ou la moindre question, le staff reste à ta disposition pour y répondre !
Alors zou, va t'amuser maintenant !

Wow, quelle claque. Je pense que ça a été clair jusque là mais j'ai adoré lire et découvrir Elena. C'est un personnage fin et subtil qui donne à la fois envie de lui faire un gros câlin et de baisser les yeux quand elle nous regarde ; elle dégage une aura toute particulière que tu retranscris à merveille avec ta plume qui fait oublier le décompte des mots dès les premières lignes.
Et puis, elle s'intègre à merveille à l'univers de FFG. Son histoire, son poste et ses opinions sont des choix très malins et pour autant crédibles qui assurent à ton orpheline une place de choix au centre des tensions. Avec ça, je suis certain que tu arriveras à trouver sans peine de quoi t'amuser ici, et c'est donc avec un très grand plaisir que je t'ouvre les portes de la ville. Amuse toi bien et reste nous longtemps !